Pour faire écho au podcast publié par Lokko que je vous invite à découvrir ICI, il est temps de prendre aussi en compte le malaise des étudiants.
Non, ce n'est pas parce qu'on est jeune que cela suffit et qu'on doit s'estimer heureux. Les étudiants sont légitimes dans les difficultés qu'ils traversent, que ce soit en ayant les moyens de s'acheter à manger ou de tout simplement sortir de leurs 9m² et des cours sur ordinateurs.
L'écriture permet de se décentrer et de rencontrer du monde, surtout quand cela se fait dans la joie et le partage. Un atelier solidaire (qui sera sûrement reconduit) a permis samedi 27 mars à ceux qui s'étaient inscrits de profiter de l'ambiance printanière de la Halle Tropisme, et de s'amuser à redécouvrir le passé des objets en vente à la boutique Emmaüs dans le café Tropisme transformé en caverne d'Ali Baba.
Un joli moment suspendu et une créativité impressionnante...
Ils nous ont raconté de bien belles histoires sur le passé d'une machine à écrire, d'une malle de voyage, d'un jeu d'échecs ou d'un coupe-carreaux. Beaucoup de rires et de légèreté, bravo et merci à tous.